À celui qui veille sur sa conduite, je ferai voir le salut de Dieu.

Écoute, mon peuple, je parle ;

Israël, je te prends à témoin.

Moi, Dieu, je suis ton Dieu !

Je ne t’accuse pas pour tes sacrifices ;

tes holocaustes sont toujours devant moi.

« Offre à Dieu le sacrifice d’action de grâce,

accomplis tes vœux envers le Très- Haut.

Qui offre le sacrifice d’action de grâce,

celui-là me rend gloire :

sur le chemin qu’il aura pris,

je lui ferai voir le salut de Dieu. »

Psaume (Ps 49 (50), 4-6, 7-8, 14.23)

Tout a commencé il y a des années avec une strong image parlant du sacrifice de Dieu.

Il n'y avait que la maison de Dieu , la maisonnette de sa mère contre la pertinence du mal, celle qui a condamné Jésus Christ. Jésus Christ lui-même criait donc du haut de sa croix a celui qui l'a vendu, et trahie pareille. Il disait,me semblait il : ne prends pas ma mère. Prends la maison.

"Prend la maison", voilà qui m'est resté de ces images si fortes, si terribles , en rappelant la fin de J. C. La mère, sa mère, si horrifié. Les restes ,unies dans un étonnamment bien sincère. Jésus, dans une lutte sauvage dans ses sens. Et Iuda, n'étant pas là.

Même aujourd'hui, la maladie prend la maison. La mère elle, unie nos prières. Et Iuda Iscariotean, le traître n'a jamais la maison qu'il pourrait - âpre D'antan, que maudire. Pour mourir.

Il ne lui est pas permis de mourir , Dante car Dieu est ressuscité lui-même. Donc, ce n'est pas là maison de Marie, sa Très Sainte Mère et Vierge qui reste crucifiée. Non, elle l'a gardé vivant en prières - par ses prières, la Mère de Dieu. 

Jésus Christ is the absolute winner.